• En covoiturage avec le père de ma meilleure amie

    Le père de ma meilleure amie me propose un covoiturage pour nous rendre à l’anniversaire de sa fille, il va découvrir quelle salope je suis!

    J’ai entretenu une correspondance érotique, et je dirais même extrêmement cochonne, avec une jeune femme, pendant quelque temps, elle m’a inspiré une histoire, et à notre grand regret à tous les deux, elle a mis fin à cette correspondance à cause de son copain, qui la voyait plutôt d’un mauvais œil.
    Nous ne faisions rien de mal, pourtant, nous nous excitions mutuellement, et nous fantasmions ensemble, il y a pas de mal à se faire du bien, et à en faire aux autres, tout ceci était purement virtuel…
    Après quelques mois sans nouvelles d’elle, j’ai reçu ce mail, que je vous fais partager, j’ai juste rectifié l’orthographe, très peu, cette fille écrit très bien, et aussi la tournure de quelques phrases, et l’ajout de quelques précisions.
    Le voici, je vous laisse déguster sa prose, j’ignore si son récit est véridique, ou fantasmé….
    Mais connaissant la personne, je crois vraiment que c’est une histoire vrai.

    Mon cher See You, que le goût de votre bite me manque!
    Ainsi que votre poigne si ferme sur ma tête, pendant que je vous pompais profondément, mes lèvres et mon nez pressés contre vos poils, votre peau… cette odeur qui m’enivrait.
    Déjà que je pense à vous quotidiennement, que chaque homme mûr que je croise fait palpiter ma chatte, et me donne envie d’écarter mes cuisses immédiatement, mais depuis que vous avez écrit votre histoire, que je vous ai inspiré, celle de la nièce obsédée du sexe et de son vieux tonton, c’est encore pire !
    Je dois bien reconnaître que de tous vos écrits, c’est celui ci qui est mon préféré, cette nièce me correspond tellement, et j’ai tellement envie de vous!
    Il m’a tellement excitée, que j’ai commis une folie ce week-end.

    Ma plus ancienne amie, une copine depuis la maternelle, fêtait son anniversaire en petit comité. Juste la famille et les amis les plus proches. Comme son père n’habite pas loin de chez moi, nous avions décidé de faire la route ensemble, histoire de partager le volant, à défaut des frais, qu’il tenait à prendre en charge intégralement.
    Il n’avait pas non plus voulu mettre d’annonce de covoiturage, prétextant qu’il ne voulait pas s’imposer un horaire d’arrivée. Quand je lui ai dit qu’il aurait pu compter large, j’ai bien vu que ce n’était qu’un simple prétexte, mais je me suis dit qu’il avait juste envie d’être tranquille.
    Vêtue d’une petite jupe bleue patineuse, qui m’arrivait à mi-cuisse, et d’un top orange empire, qui mettait bien en valeur ma poitrine généreuse, j’ai pris place à ses côtés dans la voiture, après que nous ayons ôté manteaux et écharpes. Quand je me suis assise, mes fesses ont frémis au doux contact de la moquette du siège, comme à mon habitude, je ne porte pas de culotte.

    Nous somme donc partis en échangeant les banalités d’usage sur nos familles, nos emplois, la pluie, le beau temps, le tout mâtiné d’humour car c’est un homme que je connais depuis mon plus jeune âge. Pourtant, avec le temps, je me suis mise à le vouvoyer, comme je vouvoyais tous les autres parents de mes amis. J’avais beau me reprendre et m’excuser, il insistait sur le fait que ça ne le dérangeait pas, que si j’étais plus à l’aise avec le vouvoiement, je ne devais pas me priver de l’utiliser.
    C’est un homme que j’ai toujours beaucoup apprécié, et qui m’avait toujours semblé le père idéal. Il a élevé sa fille seul, la mère les ayant quitté quand mon amie avait 5 ans, et je l’ai souvent vu coudre des costumes de mardi-gras ou de spectacle de fin d’année scolaire pour elle. Tout comme j’adorais passer des week-ends ou des vacances chez eux et le voir prendre tant de plaisir à nous cuisiner des mets délicieux. Il était également assez permissif, mais sa fille n’a jamais abusé de ses bonnes grâces. Elle est d’ailleurs dotée à présent de presque toutes les qualités de son père. Ce qui inclut une capacité extraordinaire à ne pas se laisser abattre et à rebondir.
    Ce qui fait qu’à l’âge de 43 ans, il avait quitté un haut poste d’ingénieur pour suivre une formation de masseur à domicile! Métier qu’il exerçait maintenant depuis 17 ans. Passionné de réflexologie et de magnétisme, c’est un homme absolument passionnant, doté en plus d’un embonpoint que j’ai toujours trouvé absolument charmant.
    Je m’étais d’ailleurs, dans mes jeunes années, bien souvent caressée en pensant à lui, en l’imaginant me baiser comme un possédé, lui qui ne s’était jamais remis avec une femme et qui aurait peut-être bavé sur mon corps de jeunette avide de foutre que je me voyais lui offrir.
    Mais, passées ces fantaisies, je revenais à la réalité et le voyait de nouveau comme un oncle pour moi.
    Et je faisais mon possible pour ne pas repenser à votre histoire et contrôler mes pulsions.

    Puis, la discussion a pris une autre tournure.
    – Toujours avec Mathieu ?
    – Oui, toujours.
    – Hé ben…il y en a qui doivent être jaloux !
    – Oh non je ne pense pas.
    – Pas de fausse modestie, tu sais bien que tu es jolie !
    – Ah non, je ne voulais pas dire ça !
    – Comment ça ? Qu’est-ce que tu voulais dire ?
    Soudain le rouge me monte aux joues.
    – Enfin, pas de ça entre nous, qu’est-ce que tu voulais dire ?
    Je me mets à bafouiller, mais je n’arrive étonnamment pas à reformuler ce que j’avais en tête, pour le rendre moins cru.
    – Non mais je voulais dire que tout le monde heu… m’était déjà passé dessus… enfin je veux dire… enfin…
    – Oh non mais c’est pas vrai !
    Et voilà que je me tape le front comme une idiote. Et qu’il me regarde en souriant chaleureusement.
    – Ne t’inquiète pas, tu sais bien que je ne dirais rien à tes parents!
    – N’empêche, je suis sûr qu’il y en a encore qui espérait avoir leur chance. En tout cas, je te savais généreuse mais pas à ce point !
    Je ne sais pas ce qui se passe.
    Quelque chose en moi ne veut pas détourner la conversation. Je me sens l’envie de lui faire quelques confidences.
    Je n’imagine pas encore que ça pourrait aller plus loin, je me dis seulement que ça alimentera mon imaginaire pour mes séances de masturbation du week-end, vu que je n’ai pas pris mon ordinateur et que mon téléphone capte mal dans cette maison, rendant compliqué l’échange de sextos avec mon compagnon. Mais votre histoire me reste dans la tête, ainsi que cette image de votre bite qui gicle et me met l’eau à la bouche.
    -Oh vous savez, moi en fait, il suffit que je sache qu’on me désire pour avoir envie !
    Là, je sens qu’il a du mal à regarder la route, et qu’il a les yeux ronds tout étonnés.
    Je me dis immédiatement que j’ai été trop loin.
    – Mais enfin, pourquoi… pourquoi si peu d’exigences ?
    – Ben… pour ces choses là, ma seule exigence c’est le plaisir. Le reste, ça ressemble plus à des privations qu’à des exigences. Et on se prive déjà tous beaucoup à mon avis.
    – Mmmmhh… là, comme tu en parles, je trouve ça raisonné, mais j’avoue que si tu étais ma fille, je ne sais pas si je le prendrais aussi bien. Mais du coup, oui, tu es vraiment généreuse.
    – Hé oui ! Au propre comme au figuré ! Dis-je en souriant. D’ailleurs, j’ai un peu pris des cuisses pendant les fêtes !
    En disant ça, mes mains tâtent mes cuisses… ça y est, je sens que je suis partie.
    En caressant ma cuisse gauche que j’ai relevée un peu, la jupe s’est bien retroussée et révèle très largement l’arrondi de ma fesse nue. Nous sommes sur l’autoroute, c’est très tranquille, et le père de mon ami me regarde me palper les cuisses, presque le cul. Ses yeux brillent et je vois que je fais mouche.
    – On ne dirait pas pourtant, tu es toujours à croquer ! Est-ce que tu veux bien me passer la bouteille d’eau s’il te plaît ? J’ai du la laisser derrière avec les sandwichs.

    Je m’empare de l’occasion pour l’allumer encore plus.
    Et je me mets à penser à vous très fort, j’ai très envie que vous me voyiez comme ça. J’ai envie de sentir vos doigts fourrer mes deux trous et dire à cet homme combien j’aime la baise.
    J’ôte ma ceinture, chacun de mes gestes me demandent énormément d’effort tant mon besoin de sexe est puissant et me réclame intégralement. Je me retourne sur le siège. Ma jupe fluide retombe et couvre mon cul… qu’à cela ne tienne, je la retrousse de moi-même, ne laissant plus aucun doute à mon interlocuteur.
    Et je me penche, envoyant mes mains sur la banquette arrière à la recherche de la bouteille. Je repense au petit vieux dans le supermarché. Je repense à combien cette histoire vous avais excité, combien elle m’excite en ce moment même.
    Par le pare-brise arrière je vois une voiture pleine. Je dirais un couple à l’avant et un autre à l’arrière mais je ne suis pas sûre. Ils doublent notre voiture, je distingue mieux le couple devant et découvre qu’il y a deux hommes à l’arrière. L’un des deux m’aperçoit et je me dis qu’ils vont avoir une belle vue de mon cul nu par le pare-brise.
    Qu’est-ce que je suis excitée. Je traîne plus longtemps que je ne devrais et le père de mon ami brise le silence.
    – En plus de moi, il y a des gars devant qui te matent… ça ne te gêne pas?
    – Non, oh non !
    -Je ne sais pas à quoi tu joues mais il va falloir qu’on s’arrête. Je ne savais vraiment pas que tu étais si coquine.
    Dans ma tête je vous entends lui répondre:
    » C’est une cochonne, une Salope ! Et là encore c’est rien, quand je l’ai au bout de ma bite, tu verrais comme elle est chienne. Et ce cul qui saute et ces seins qui ballottent. Et puis je peux me vider les couilles où je veux, elle aime tout ! Je peux lui fourrer mes mains dans sa chatte ou son cul, je peux même pisser dans sa rondelle, elle s’ouvre encore plus, et elle en redemande. Elle en a jamais assez. C’est un bon sac à foutre qu’on ne peut jamais remplir, même à quarante. »
    – Mmmhh… je dirais… je suis très cochonne plutôt !
    Et je me trémousse les fesses d’abord doucement comme pour confirmer ce que je viens de dire. Je pense encore à vous, à votre gland luisant qui chatouille ma corolle anale, à la pointe de votre langue bien au chaud dans ma fente, à mes tétons durs qui jouent avec votre méat, aux seins de votre femme contre lesquels je frottais les miens, à votre main qui me remplissait la chatte et me faisait juter, votre bite qui gicle, vos insultes, vos doigts, votre queue, votre langue, ce chien qui me lèche, votre bite, encore votre bite, votre jus, la chatte de votre femme contre la mienne, des amis à vous auxquels vous me prêtez pour qu’ils me baisent, me défoncent, m’enculent, tous ces hommes murs qui se vident les couilles dans la chienne en chaleur que je suis.
    Je pense à tout ça en me remettant sur le fauteuil. Ma ceinture de nouveau attachée, je glisse immédiatement mes doigts dans ma chatte dégoulinante.
    – Il y a une aire d’autoroute dans deux minutes. S’il te plaît, attends un peu, tu vas me rendre fou !
    – Je ne peux pas, il y a un homme mûr qui m’a terriblement excitée, et je pense énormément à lui en ce moment… je n’arrive pas à me contrôler !

    Et voilà que je lui parle de vous, le temps d’arriver sur l’aire. Je lui raconte nos histoires, mais je n’ose pas raconter celle du chien, je l’ai tournée en une histoire de baise en public, les besoins permanents de baise que vous m’inspirez, les culottes que je ne porte plus grâce à vous, les insultes qui me rendent folle, le montant de mon lit que je m’enfonce tout le temps en pensant à vous, les sodomies bestiales par lesquelles je rêve d’être réveillée, les gorges profondes, et les branlettes espagnoles dans vos toilettes, le matin, quand votre main tripotait votre membre alors que vous pensiez à moi, à mes orifices, que vous aimiez remplir de vos mains. Je lui raconte tout ça.
    Nous voilà enfin garés sur un aire en pleine cambrousse.
    A peine a-t-il mis le frein à main que ses doigts glissent sur l’intérieur de mes cuisses.
    – Il n y a aucun poil sur ta chatte on dirait celle d’une enfant… je n’ose pas la toucher….
    Je prends moi-même sa main et la pose directement sur mes lèvres déjà ouvertes et luisantes de mouille. Il souffle.
    – Ce que c’est chaud. Tu es sûr de ce que tu fais ? Je veux dire… avec moi ? Vraiment ?
    Pour seule réponse, je porte sa main à ma bouche et je lèche ses doigts les plus trempés. Je la remet sur ma chatte, et tends mes mains vers son pantalon pour en défaire la ceinture, et en sortir l’objet de mes convoitises.
    Une fois que c’est fait, je me remet à quatre pattes, et place sa main humide sous mon top pour qu’il palpe mes seins, pendant que je joue de ma bouche sur sa petite queue fièrement dressée.
    – J’en ai tellement rêvé, j’ai du mal à le croire ! Tes seins… ah putain, ta bouche ! Je vais pas réussir à tenir !
    Effectivement, à peine ai-je commencé à le sucer qu’il gicle immédiatement. Son foutre a un goût très fort qui me plaît énormément, et je continue à cajoler sa queue tout en massant ses couilles, glissant un petit doigt discret vers son anus.
    – Je suis vraiment désolé… tu… t’imagines pas l’effet qu’une jeune fille sexy comme toi, a sur un vieux comme moi. Je ne peux pas me retenir, tu m’excites beaucoup trop. Par contre, j’ai très envie de… de te lécher… et de te voir… de te voir t’enfoncer le levier de vitesse dans… dans ta chatte ou… dans… dans ton cul !
    Sa timidité me touche énormément, et c’est avec passion que je lui offre ma fente ouverte, affamée. Mon fauteuil baissé au maximum, m’adossant contre la porte, je fais passer mes seins par-dessus le col de mon haut et ouvre grand mes cuisses. Il lèche et mordille d’abord mes tétons, empoignant mes seins avec force, à mon grand étonnement, et pour mon plus grand bonheur !
    Je commence à gémir. Je vous imagine nous regarder, je vous entends dans ma tête.
    » – Oh oui mon sac à foutre. Offre lui ton corps de pute en chaleur. Tu en fais le plus heureux des hommes. Et s’il ose pas te baiser, je viendrais te remplir de foutre chaud ma salope, t’inquiète pas pour ça. J’en tartinerai ta gueule, ta chatte et ton cul et je te ferai prendre par tous les mecs qui s’arrêteront ici. Ils te monteront comme une chienne, te baiseront à plusieurs, et certains te demanderont de lécher et de doigter leur copine en te traitant de pute…. »
    Je l’encourage…
    – S’il vous plaît, doigtez ma chatte ! Léchez mon clito ! Je n’en peux plus !!!
    Comme pour mes seins, je sens une poigne de fer s’emparer de ma fente et commencer à la fourrer vite et loin. La langue astique mon clito et, contre toute attente, alors que je pensais qu’il prendrait son temps, je me sens au bord du premier orgasme.
    Je repense à toutes ces fois, bien plus jeune, où il nous conduisait à la plage sa fille et moi, et où il me passait de la crème solaire dans le dos, pendant que sa fille était dans l’eau. Je baissais un peu l’élastique de mon slip de bain sur mes fesses, espérant l’allumer, mais il était à mille lieues de s’imaginer l’effet qu’il pouvait produire sur une jolie jeune fille avide de foutre, tant il doutait de lui.
    Toute à mes pensées, à mon plaisir, je n’ai pas vu que sa seconde main se dirige vers ma petite rondelle. Quel bonheur quand son doigt se met à forcer mon trou serré. Ses autres doigts me fourrent toujours bien à fond, de tout petits jets giclent à chaque butée, tellement je suis excitée, et tellement je mouille. Il y va vraiment très fort et sa bouche ne lâche pas mon petit bouton. Elle le tète parfois, frotte délicatement l’émail des dents dessus. Je n’en revient pas qu’il puisse dicter une telle force à l’une de ses mains, et une telle douceur à l’autre ainsi qu’à sa bouche. Mais je n’ai pas le temps de réfléchir longtemps à la question, je me mets à jouir comme une folle.
    Et ça n’en finit pas ! Sa langue et ses doigts connaissent tous les points de ma chatte à titiller pour que mon orgasme dur encore et encore, mes jambes tremblent, je coule comme jamais je n’ai coulé, inondant le col de son sweat-shirt, le siège et le levier de vitesse.
    Je perds complètement les pédales… et cette autre main qui masse mon petit trou, et vous que j’imagine vous frottant sur ma bouche ouverte en giclant dedans.
    A l’un de mes soubresauts, il sent que je n’en peux plus, et sa bouche quitte ma chatte. Mais plutôt que de stopper le rythme effréné de ses doigts, il opte pour un ralentissement en douceur.
    Lorsqu’il les sort je suis complètement dans les vapes. Ses mains caressent doucement mes cuisses et il me faut plusieurs minutes pour émerger. Entre mes paupières encore lourdes, je vois que sa queue bande de nouveau, et cette vision me sort définitivement du sommeil.
    – Ouah! Si vous massez toutes vos clientes comme ça, je comprends pourquoi vous êtes si demandé !
    Il sourit.
    – Non, ça c’est un massage réservé pour toi !
    Il m’embrasse délicatement la chatte après m’avoir dit ça.
    – Je peux avoir un massage anal avec votre queue ?
    – Ma belle… si je te pénètre, j’ai peur de ne plus jamais pouvoir m’en passer. J’ai senti avec mes doigts combien tu es serrée, et tu me rends déjà dingue. Je ne sais déjà pas comment je vais faire pour penser à autre chose pendant tout le reste de ma vie…
    Je lui souris tendrement et me penche de nouveau, la tête entre ses jambes. Mes seins généreux se frottent sur sa bite. La position n’est pas aisée pour une branlette espagnole mais il m’aide et j’arrive même à lécher son gland avec la pointe de ma langue. Il gicle de nouveau très vite. Il n’y a que quelques gouttes mais ça me donne encore envie de jouir.
    – Tu me rends fou. Je vais te lécher le cul et le masser, tu vas couler de nouveau tu vas voir !
    – Oh oui! J’adore avoir le cul rempli… je me fourre tout et n’importe quoi dans le cul, allez-y, léchez-moi, bourrez-moi!
    Je me mets dos à lui, enfourche le levier de vitesse et le fait pénétrer dans ma fente parfaitement lubrifiée par mon premier orgasme.
    Ses mains écartent immédiatement mes fesses et sa langue étale de grosses gouttes de salive sur ma rondelle. Il me lèche, et me lèche, et me lèche, pendant que je monte et descend sur le levier puis, au bout d’un moment, alors que je ralentis pour profiter un peu plus de ses caresses à lui, sa langue commence à s’enfoncer. Je la sens ultra compressée alors qu’il m’écarte les fesses au maximum. Je gémis. Ce que c’est bon, avec la boule du levier qui me fait tellement du bien. Puis le voilà qui fait rentrer ses deux pouces pour m’ouvrir le cul, il lèche le pourtour de ma corolle, fait frétiller sa langue de haut en bas. C’est tellement, tellement bon !
    – Oh oui! C’est trop bon !!! Enfoncez-moi quelque chose, je veux être enculée comme une pute !
    A ma grande surprise, une de ses mains me donne une fessée! Pas une grosse, juste assez pour me surprendre et m’échauffer encore plus.
    -On a un mateur. Je voulais lui montrer quelle jolie cochonne tu es !
    Je tourne la tête vers le pare-brise, et je vois un homme à la fenêtre d’un camion, qui semblait vide à notre arrivée.
    Excitée comme une folle, je m’oriente vers lui et enserre mes seins tout en pinçant mes pointes. Je crache dessus et voilà mes doigts qui glissent sur mes aréoles. Alors que j’excite notre voyeur, je sens enfin les doigts du père de mon amie me pénétrer le rondelle. Avec le levier dans la chatte qui me fait un cul encore plus serré, c’est juste divin !
    -Oh oui !!! Allez-y à fond !!! Faites-moi jouir comme une salope ! Ce que c’est bon !!!
    De nouveau, son doigté magique allié à la situation, le mateur, cette baise en plein jour dans une voiture, le fait que ce soit lui, que je sais qu’à chaque fois qu’il conduira sa voiture, il me reverra me trémousser sur ce levier… tout ceci suffit à me faire jouir assez vite, et de nouveau très fortement.

    Après ceci, le mateur a quitté l’aire de repos en nous faisait un signe, pouce levé, et un grand sourire par sa vitre.
    Nous avons quant à nous remis un peu d’ordre dans nos affaires et je suis restée à l’arrière une bonne partie du trajet, le temps que mon siège sèche. J’ai continué à lui parler de tout et de rien et je voyais qu’il faisait des efforts pour faire de même. Comme je sentais que beaucoup de choses se bousculaient dans sa tête, j’ai été sage le reste du trajet. L’anniversaire s’est très bien passé. Lors du retour, nous avions sa fille, mon amie, qui nous accompagnait pour passer quelque jours de ce début de semaine chez son père et chez moi.

    Voilà… je voulais vous raconter ça, parce que je suis convaincue que c’est votre histoire qui m’a donné l’impulsion pour réaliser ce fantasme, et je voulais vous en remercier. Vous, mon cochon vicieux auquel je pense absolument tous les jours.

    Votre cochonne dévouée.

    J’espère que vous aurez aimé ce récit, et qu’il vous aura bien excité et fait rêver, et peut être aussi donné quelques envies coquines,,,
    J’aurai très bien pu être cet homme au volant, il me ressemble beaucoup, et vous mesdames, ma passagère.
    Si vous êtes une femme, quelque soit votre âge, mais bien sur majeure, et que vous voulez tenter l’expérience d’une correspondance coquine et privée avec moi, hésitez pas contactez moi par mail.
    Vous n’êtes pas obligée d’écrire une histoire avec moi, juste des choses coquines, notre correspondance restera secrète entre nous, sauf si vous voulez écrire une histoire avec moi pour la publier.
    Vous pouvez aborder tous les sujets avec moi, parler de tous les fantasmes possibles, même si vous les trouvez honteux, je ne vous jugerai pas, j’ai un esprit très ouvert aux autres.
    Ce qui est intéressant dans ce genre d’échanges, c’est de découvrir l’autre, à chaque fois, j’apprends de nouvelles choses, je fais de nouvelles découvertes, ou je vous apprends de nouvelles choses, ou je vous fais faire de nouvelles découvertes, c’est un échange à double sens toujours instructif.

    Olives Andrea

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